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L'événement attendu, c'était Vertigo pour deux pianos et orchestre du tout jeune et brillant Strasbourgeois Christophe Bertrand, sans doute le plus solide espoir dans la nouvelle génération des compositeurs français.

[Harry Halbreich, Crescendo]

On n'a pas été déçu par Vertigo, le concerto pour deux pianos de Christophe Bertrand, brillamment créé par Hidéki Nagano et Sébastien Vichard, sous la direction toujours compétente de Pascal Rophé : une oeuvre confondante de maîtrise et de virtuosité, tournoyante, irrésistible. [...] impossible de se soustraire à son charme.

[Christian Merlin, Le Figaro, 25 septembre 2008]

Christophe Bertrand [...] surprend avec sa première pièce d'envergure pour orchestre et deux pianos solistes : Vertigo, ébouriffant maelström dense et luxuriant, en guise de concert d'ouverture réussie au Festival Musica. Voilà une partition réjouissante et virtuose, maîtrisée de bout en bout, dans laquelle ruisselle une cascade d'accords pianistiques emportée dans l'immensité d'un orchestre aux tonalités phosphorescentes.

[Franck Mallet, Classica-Répertoire, novembre 2008]

L'événement de ce début de festival fut sans conteste la création de Vertigo de Christophe Bertrand [...] A vingt-sept ans, on peut dire de Bertrand qu'il a vraiment tout pour lui. Deux mentors d'exception : Pierre Boulez et Pascal Dusapin, et ce qui ne gâche rien, un talent et une inventivité qui en laisseront pantois plus d'un.

[Bertrand Balmitgère, Classiqueinfo.com, 28 septembre 2008]

Coup de chapeau au Quatuor du Français Christophe Bertrand, dont les textures arachnéennes relèvent d'une maturité d'écriture assez renversante pour un compositeur de 24 ans.

[Christian Merlin, Le Figaro, 4 octobre 2005]

Le jeune et très brillant Strasbourgeois Christophe Bertrand développe dans Mana une écriture reposant sur la fulgurance du geste instrumental [...] il sera un grand maître car son talent est déjà immense.

[Christian Merlin, Le Figaro, 5 juin 2006]

Autre nom à retenir, celui de Christophe Bertrand. Son Mana, donné par un enthousiasmant Marc Albrecht à la tête du Philharmonique de Strasbourg, est une cascade musicale d'une dizaine de minutes qui surprend par sa densité et sa maîtrise de la part d'un aussi jeune compositeur.

[Laurent Vilarem, La lettre du Musicien, novembre 2007]

Der Franzose Christophe Bertrand (geb. 1981) ist eine starke Persönlichkeit. Sein Mana ist Musik von Heute mit eigener Handschrift, kräftig, ausgehört, voll Phantasie und in jeder Hinsicht überzeugend. Von diesem Komponisten wird man noch hören.

Le français Christophe Bertrand (né en 1981) est une personnalité forte. Sa pièce "Mana" est une musique d'aujourd'hui avec une écriture personnelle, puissante, accomplie, en tout point convaincante. On entendra encore parler de ce compositeur.

[Alfred Zimmerlin, Neue Zürcher Zeitung, 12 septembre 2005 ]

Puis ce fut Yet, du tout jeune Strasbourgeois Christophe Bertrand (21 ans!) ; [...] cette pièce débordant de vie est bien plus qu'une promesse, déjà une parfaite réussite, avec la savoureuse touche d'humour d'une fin où le contrebassiste, soudain "lâché" par ses collègues, continue un instant sur sa lancée de traits vertigineux, avant de s'arrêter un peu confus...

[Harry Halbreich, Crescendo, octobre 2002]

Christophe Bertrand d'abord, enfant chéri de Musica aujourd'hui en spectaculaire ascension - Boulez vient de créer à Lucerne son Mana - avait confié à la soprano et à Accroche Note la création de Madrigal. Une pièce qui lance les interprètes dans les pics et dévalements d'un parcours follement accidenté. Il faut décidément compter avec l'intrépide inventivité du jeune compositeur.

[Christian Fruchart, Dernières Nouvelles d'Alsace, 2 octobre 2005]

C'est une reconnaissance à tous égards justifiée : le jeune pianiste et compositeur Christophe Bertrand vient d'être sélectionné par l'Académie de France à Rome pour être pensionnaire de la Villa Médicis, pendant 18 mois, à partir d'avril 2008. Un enfant de Musica, aujourd'hui en spectaculaire ascension [...] Les compositions de Christophe Bertrand dès lors ne quitteront plus l'affiche de Musica, mais suscitent l'intérêt partout ailleurs aussi - Pierre Boulez ainsi a créé l'an passé à Lucerne une composition, Mana, que la prochaine édition de Musica confiera au Philharmonique de Marc Albrecht. [...] Un exemplaire engagement d'artiste.

[Antoine Wicker, Dernières Nouvelles d'Alsace, 26 mai 2007]

Le monde musical a suivi avec beaucoup d'intérêt l'éclosion du jeune compositeur strasbourgeois aujourd'hui âgé de vingt-six ans. L'Ensemble Intercontemporain avait créé en 2002 Yet, une partition d'un formidable tonus. Et c'est Boulez lui-même qui avait tenu à diriger il y a deux ans au Festival de Lucerne la première de Mana. [...] Des assauts d'énergie soutenus de bout en bout mais aussi, signe de la maturation de sa plume, une organisation très équilibrée du grand appareil orchestral.

[Marc Munch, Dernières Nouvelles d'Alsace, 10 octobre 2007]

Chaleureusement accueilli ce samedi, le Quatuor du jeune Strasbourgeois accroche l'attention par la succession qu'il propose : sept brèves textures diversifiées, fourmillements, suspensions, prestissimo impalpable ou brouillard harmonique. Autant de «bagatelles» raffinées où à chaque fois survient un événement sonore intéressant.

[Christian Fruchart, Dernières Nouvelles d'Alsace, 2 octobre 2005]

A 21 ans, Christophe Bertrand affiche déjà une belle assurance et un métier impressionnant. Déjà, tel est le maître mot pour désigner (en anglais) autant la partition à succès (Yet) interprétée avec brio par l'Ensemble Intercontemporain que la problématique de son auteur. En finir avec l'exercice de style et passer à la communication personnelle.

[Le Monde, Pierre Gervasoni, 11 décembre 2002]

Donné en création à ce concert, Yet fit ici figurer le nom de Christophe Bertrand aux côtés de celui de Boulez : un honneur et un pur bonheur pour le très jeune compositeur strasbourgeois qui n'a que vingt et un ans. Une commande de l'Intercontemporain, et la confiance qui lui est ainsi faite est parfaitement justifiée : sa partition répartit très judicieusement le potentiel de timbres de l'Intercontemporain, dans un mouvement toujours soutenu dans sa vivacité, plein de tonicité, d'humour aussi, et pas seulement dans la coda finale - le solo échevelé d'une contrebasse. L'oeuvre a du jus, et son auteur a la pêche, comme l'on dit : on ne peut que se réjouir du succès de Bertrand, dont Strasbourg suit la carrière avec la plus vive attention.

[Marc Munch, Dernières Nouvelles d'Alsace, 01 octobre 2002]

Deux benjamins ont étonné par leur aplomb et leur écriture vigoureuse, soutenus par l'Ensemble Intercontemporain : Christophe Bertrand (21 ans), avec Yet, pièce turbulente, et Bruno Mantovani [...]

[Philippe Venturini, La Croix, 03 octobre 2002]

Musica a salué très chaleureusement, samedi à l'Hôtel du Préfet, un compositeur alsacien de dix-neuf ans, Christophe Bertrand, en lui consacrant l'avant-dernier concert de son édition 2000. Et le public -au premier rang duquel le préfet Philippe Marland et son épouse, Catherine Trautmann, maire de Strasbourg, et Marie-Claude Segard, directrice du Conservatoire national de Région de Strasbourg- lui a fait une ovation parfaitement méritée. Le jeune musicien présentait, en compagnie de ses amis du Conservatoire, ses propres oeuvres. Le pianiste qu'il est aussi fut en outre le diligent interprète de la troisième Étude de Pascal Dusapin, et des Études boréales, lumineuses sans froideur, de son maître en composition, Ivan Fedele.

Il y a toujours lieu de se réjouir de l'éclosion d'un nouveau talent. La naissance d'un compositeur ne relève cependant pas de la génération spontanée, ni ne se décrète. Il ne suffit pas de coucher sur le papier à musique ce qu'on a envie d'exprimer... Christophe Bertrand a entamé tôt son cursus de formation du musicien, et possède un solide bagage en piano, musique de chambre et écriture. Pour la composition, au stade où il est à ce moment, Christophe Bertrand a encore toute la fraîcheur, mais pas naïve du tout, de l'invention ; mais il a déjà aussi un vrai sens de la forme, et de l'expression donc de sa pensée artistique. Dans le langage qu'il utilise, on pourrait reconnaître quelques recettes, fedéliennes sans doute, dans Arcanes, pour flûte, par exemple ; ou, pour les cordes, des amorces souvent en frottements autour d'une note. Mais le trio Treis est équilibré, la voix, dans Strofa II, est bien traitée, La chute du rouge proportionne ses composantes, et sait intelligemment bâtir ses contrastes de mouvement et d'atmosphère. La musique est bien dans sa forme, à l'image d'un jeune compositeur bien dans ses baskets et dans sa peau.

Dans Skiaï, déjà, le piano, avec le compositeur au clavier, lance des envolées auxquelles ses partenaires donnent la réplique avec art et enthousiasme. Le flûtiste Olivier Class, la soprano Aline Metzinger, les clarinettistes Jérôme Salier et Nicolas Freund, les violonistes Laura Rajanen et Rosalie Adolf, le violoncelliste Godefroy Vujicic, la pianiste Anne-Cécile Litolf et Édith Le Rôle au vibraphone : belle équipe d'amis pour entourer le compositeur et donner vie à sa musique, en la faisant jaillir de source. Christophe Bertrand vient d'être sélectionné par l'Ircam à Paris -son directeur Laurent Bayle, par ailleurs directeur-fondateur de Musica en 1983, était présent à cette audition- pour le cursus annuel de composition et d'informatique musicale. On ne peut que souhaiter à Christophe Bertrand de préserver demain dans sa carrière toutes les qualités qu'il manifeste dans ses premiers opus.

[Marc Munch, Dernières Nouvelles d'Alsace, 11 octobre 2000]